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SENATOR FLETCHER: You mean male passenger.
MAJ. PEUCHEN: Yes; male passenger.
SENATOR SMITH: Did you see any attempt to get in?
MAJ. PEUCHEN: No; I never saw such order. It was perfect order. The discipline was splendid. The officers were carrying out their duty and I think the passengers behaved splendidly. I did not see a cowardly act by any man.
SENATOR SMITH: Was the boat safely lowered?
MAJ. PEUCHEN: The boat was loaded, but I think they could have taken more in this boat. They took, however, all the ladies that offered to get in at that point.
SENATOR SMITH: Was the boat safely lowered?
MAJ. PEUCHEN: Oh, very; the boat was safely lowered.
SENATOR SMITH: Who was in it that you know of?
MAJ. PEUCHEN: I should say about — I do not know — I imagine about 26 or 27. There was room for more. Then, as soon as that boat was lowered, we turned our attention to the next. I might say I was rather surprised that the sailors were not at their stations, as I have seen fire drill very often on steamers where they all stand at attention, so many men at the bow and stern of these lifeboats. They seemed to be short of sailors around the lifeboats that were being towered at this particular point. I do not know what was taking place in other parts of the steamer. There was one act, sir, I would like to mention a little ahead of my story. When I came on deck first, on this upper deck, there were, it seems to me, about 100 stokers came up with their dunnage bags, and they seemed to crowd this whole deck in front of the boats. One of the officers — I do not know which one, but a very powerful one — came along and drove these men right off that deck. It was a splendid act.
SENATOR SMITH: Off the boat deck?
MAJ. PEUCHEN: Off the boat deck. He drove them, every man, like a lot of sheep, right of the deck.
SENATOR SMITH: Where did they go?
MAJ. PEUCHEN: I do not know. He drove them right ahead of him, and they disappeared.

LE SÉNATEUR FLETCHER : Vous voulez dire un passager de sexe masculin.
MAJ. PEUCHEN : Oui, un passager de sexe masculin.
LE SÉNATEUR SMITH : Avez-vous vu une tentative d’entrer?
MAJ. PEUCHEN : Non, je n’ai jamais vu un tel ordre. C’était un ordre parfait. La discipline était splendide. Les officiers s’acquittaient de leur devoir et je pense que les passagers ont été merveilleusement bien servis. Je n’ai vu aucun homme faire preuve de lâcheté.
LE SÉNATEUR SMITH : Le canot a-t-il été mis à l’eau en toute sécurité?
MAJ. PEUCHEN : Le canot était chargé, mais je pense qu’ils auraient pu en prendre plus dans ce canot. Ils ont pris, cependant, toutes les dames à qui on a offert d’entrer à ce moment-là.
LE SÉNATEUR SMALL : Le canot a-t-il été mis à l’eau en toute sécurité?
MAJ. PEUCHEN : Oh, Oui; le canot a été mis à l’eau en toute sécurité.
LE SÉNATEUR SMITH : Qui était à l’intérieur, à votre connaissance?
MAJ. PEUCHEN : Je devrais dire — je ne sais pas — environ 26 ou 27. Il y avait de la place pour plus.
Puis, dès que ce canot a été descendu, nous avons tourné notre attention vers le suivant.
Je dois dire que j’ai été plutôt surpris de voir que les marins n’étaient pas à leurs postes, car j’ai vu très souvent des exercices d’incendie sur des bateaux à vapeur où ils se tenaient tous au garde-à-vous, tant d’hommes à l’avant et à l’arrière de ces canots de sauvetage. Ils semblaient manquer de marins autour des embarcations de sauvetage qui étaient affalées à ce moment-là. Je ne sais pas ce qui se passait dans d’autres parties du paquebot.
Il y avait une loi, monsieur, que j’aimerais mentionner un peu avant mon histoire. Lorsque je suis arrivé sur le pont le premier, sur ce pont supérieur, il me semble qu’environ 100 chauffeurs étaient venus avec leurs sacs de mataf, et ils semblaient être entassés sur tout le pont devant les canots. L’un des officiers — je ne sais pas lequel, mais il était très puissant — est arrivé et a conduit ces hommes à l’écart du pont.
LE SÉNATEUR SMITH : Sur le pont des embarcations?
MAJ. PEUCHEN : Sur le pont des embarcations. Il les a chassés, tous les hommes, comme un troupeau de moutons, en dehors du pont.
LE SÉNATEUR SMITH : Où sont-ils allés?
MAJ. PEUCHEN : Je ne le sais pas. Il les a conduits en dehors, et ils ont disparu.

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